2 mois jour pour jour après leur 1er duel de Dubai, notre Héros National croisera la raquette à nouveau avec le 5e joueur mondial Grigor Dimitrov. Le Bulgare avait été surpris par la force de caractère et le panache de Jaziri, puisque ce dernier avait brillamment pris le meilleur sur le champion du monde en titre (Vainqueur du Masters 2017).
Demain sur la terre battue de la « Pista Rafa Nadal » de Barcelone, Jaziri en pleine confiance tentera de rééditer son exploit qui lui permettrait de réintégrer le TOP70.
Ça sera loin d’être du gâteau pour notre Champion car le Bulgare semble également retrouver la plénitude de ses moyens, puisqu’il avait remporté pas mal de victoires ces dernières semaines, face à de très bons joueurs, tels que Kohlschreiber et Goffin à Monte Carlo et aujourd’hui même, pour le compte des 16e de finale, face au Français Gilles Simon par le score de 6/2 6/1, très révélateur de sa forme du moment.
Djaz a facilement remporté les matchs des deux 1er tours (1/32 et 1/16e de finale) en battant le « Tennis » en personne SVP, la révélation de l’Open d’Australie 2018, l’Américain TENNYS Sandgren, 49e joueur mondial (6/4 6/4), ensuite le jeune Américain (encore un) et 149e mondial (67e en 2017) Ernesto Escobedo sur le score de 6/4 et 6/3.
Le richement doté Open de Barcelone est l’un des plus importants tournois sur terre battue de la saison, précédant les grands rendez-vous du mois de mai de la dite surface, de Madrid et de Rome (Masters 1000) ensuite de Roland Garros 2e Grand Chelem de la saison, qui représente de façon officieuse le Championnat du Monde de la terre battue.
Qui arrêtera Rafael Nadal ?
Le grand Rafael Nadal semble bien parti pour conserver son double leadership sur ladite surface et sur le tennis mondial, puisqu’il avait bien entamé sa campagne rouge en s’imposant magistralement face à Nishikori lors de la finale du « Rainier III » de dimanche dernier, pour porter son incroyable record à 11 titres à Monte Carlo.
En l’absence des Ténors du Tennis Mondial (Federer, Murray et Wawrinka) et avec un Novak Djokovic méconnaissable (encore une fois éliminé aujourd’hui par un joueur de « second degré », en l’occurrence le Slovake Martin Klizan 140e ATP), personne ne semble être en mesure de contester la suprématie du Matador.
